Hacienda El Rosalejo, Villamartín

À El Rosalejo, s’il est une chose que nous pouvons mettre en avant, c’est notre histoire : la famille Ahumada a vécu des expériences inoubliables à l’Hacienda, ce qui a contribué au caractère unique du territoire. Mais c’est aussi un lieu de rassemblement familial depuis de nombreuses générations. Aujourd’hui, nous pouvons profiter d’un lieu magique avec nos visiteurs. Et nous sommes très heureux de le partager avec vous.

Cette ferme andalouse ancestrale a été construite au XVIIIe siècle et n’a cessé d’être transmise, devenant ainsi l’une des plus anciennes résidences de notre pays. Actuellement, le responsable de l’administration de l’Hacienda est Javier Chico de Guzmán y Girón, qui est le VIe duc d’Ahumada, le chef de la maison d’Ahumada au sein de la seigneurie de Girones, le IXe marquis de Las Amarillas et le maestrante de Ronda. Son intérêt pour la cuisine lui a valu d’être nommé membre de l’Académie royale de gastronomie. L’excellence de la gastronomie d’El Rosalejo se traduit par une grande affliction pour les créations culinaires.

L’importance d’El Rosalejo remonte à l’aube du XVe siècle, mais sa progression dans l’histoire est due à des moments de grande importance, comme la création du corps de la garde civile. C’est en 1844 qu’a été élaboré le règlement qui a permis la création ultérieure de cette institution. Après un délai de plus de 175 ans, c’est un honneur d’avoir accordé de l’espace et du temps à un moment d’une grande importance dans l’histoire de l’Espagne. M. Javier Chico de Guzmán y Girón est à la tête de la signature des statuts de la Garde civile, avec M. Francisco Javier Girón y Ezpeleta, le IIe duc d’Ahumada et le Ve marquis de Las Amarillas.

L’un des éléments les plus préoccupants pour nos hôtes est la construction de la résidence El Rosalejo. Ce complexe conserve le caractère colonial de son premier bâtiment, mais intègre des éléments historiques avec des touches de design plus contemporaines. Dans la ferme andalouse, vous trouverez tout, des arcs évoquant l’architecture mudéjar aux structures inspirées de l’Alhambra.

Au cours du XIXe siècle, certains bâtiments, dont la résidence, ont été démolis et rasés par les forces napoléoniennes pendant la guerre d’indépendance. En 1830, il a été reconstruit et a ensuite fait l’objet de travaux de rénovation et d’entretien. Depuis 2000, El Rosalejo a pris l’initiative de se rénover complètement.

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